Il est des métiers qui naissent de l’évolution de la société, de ses égards et de ses manquements ou abus. C’est le cas du métier de compliance officer dont les compétences sont devenues indispensables aux entreprises à la suite des différentes crises dans le domaine financier. C’est LE spécialiste de la gestion des risques, le pare-feu, celui sur qui repose la protection du monde des affaires.
Le rôle du compliance officer
Ses fonctions sont en perpétuelle évolution à cause ou grâce à des règlementations de plus en plus nombreuses et pointues. Par ailleurs, ses domaines d’intervention deviennent plus vastes, la loi Sapin 2, étendant ses prérogatives dans des établissements autres que ceux répondant à des critères bancaires et de sécurité financière. Ainsi, toute société peut, à des niveaux différents, s’adjuger les services de ce professionnel, le secteur bancaire bien sûr mais aussi n’importe quelle autre entreprise.
Ses attributions sont multiples et regroupent plusieurs chapitres. Il se doit de tout mettre en œuvre pour lutter contre la fraude, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Mais, il intervient aussi dans le domaine de la protection des données et dans le droit à la concurrence. Enfin, la RSE autrement nommée responsabilité sociale des entreprise, la sécurité, l’hygiène et les conditions de travail lui sont dévolues. Il a ainsi plusieurs casquettes et doit, dans un premier temps, connaître parfaitement le secteur dans lequel il intervient. Les connaissances du compliance officer sont vastes puisqu’elles concernent le milieu juridique, comptable mais aussi celui des ressources humaines. Tous les domaines font désormais appel à ses compétences de mise en conformité de la règlementation territoriales mais aussi internationales.
Pour parvenir à répondre au programme de conformité qui lui est dévolu, le compliance officer doit s’investir dans un programme qu’il créera de toutes pièces, développera, déploiera et remettra à jour aussi souvent que nécessaire. Geneva Compliance répond parfaitement à ces attentes.
Le code de bonne conduite par exemple est incontournable. Il reprend les comportements à adopter pour enrayer la corruption par exemple, mais surtout ceux à proscrire. La mise en place de ce code génère par ailleurs, la création d’un dispositif d’alerte interne, répertoriant les éventuels agissements « troubles » de salariés.
De même, une liste des risques susceptibles d’engendrer des cas de corruption est établie. Ce professionnel est aussi en charge d’une « surveillance » des partenaires, visant à éliminer au plus vite les éléments susceptibles de créer des transactions douteuses. Des audits juridiques, comptables, organisationnels … sont ainsi établis régulièrement. Ses compétences en comptabilité lui sont aussi très utiles pour vérifier les comptes et les registres et relever ainsi les éventuelles irrégularités.
En interne, il a un devoir de formation aux risques et il doit vérifier que les bonnes pratiques perdurent au sein de la société. Des sanctions peuvent d’ailleurs être envisagées et mises en place en cas de manquements des salariés.
Ce professionnel de l’éthique doit ainsi posséder des qualités indispensables pour mener à bien ses nombreuses missions. Une grande probité en est une, mais il est en général aussi doté d’un relationnel à toutes épreuves, son métier l’obligeant à expliquer, à mettre en œuvre des mesures pas toujours bien acceptées et à réprimander et sanctionner le cas échéant. De fait, sa capacité à gérer le stress et les pressions s’avère incontournable.
Le choix d’un compliance officer
Certaines grandes sociétés créent un poste de compliance officer. Souvent directement en lien avec la Direction générale, il est dévolu à cet emploi pour une entreprise définie. Mais, d’autres, plus petites, préfèrent déléguer ces tâches. Elles font donc appel à un cabinet d’experts qui prennent en charge la mise en conformité et son suivi. Geneva Compliance, cabinet d’avocats, d’ingénieurs, de compliances officer, est souvent plébiscité. Ces professionnels proposent ainsi des solutions clés en main avec des externalisations complètes ou un accompagnement avec des conseils personnalisés dans tous les domaines, qu’ils soient juridiques ou règlementaires.
Le choix rigoureux d’un professionnel expérimenté dans ce domaine n’est plus à démontrer. Les enjeux sont importants sous peine de sanctions infligées, allant du simple avertissement à l’emprisonnement. D’autre part, une mise en conformité défaillante peut aussi entraîner un désintéressement des clients pour le groupe ou la société, dû à un manque de confiance. Bien choisir son compliance officer est donc primordial et Geneva Compliance a depuis longtemps, acquis une expérience sans faille dans ce domaine.